Nous nous proposons de passer en revue quelques une des théories actuelles
pour en démontrer les insuffisances, les lacunes, voire leur fausseté, beaucoup
d’entre elles étant des affirmations que n’étaye aucune expérience directe et
supposent une interprétation des observations biaisées par le cadre théorique
déjà préétabli.
4 – Théorie de
l’astrogenèse par effondrement de nuages interstellaires
Kant
publie son Histoire naturelle générale et théorie du ciel en
1755 dans laquelle est présentée pour la première fois l’hypothèse de la
formation du système solaire : c’est hypothèse de la nébuleuse primitive.
Il apparait à l’évidence que pour former une étoile, il faut que la matière
soit disponible, qu’il existe un matériau antérieur à l’étoile. Quoi de plus
simple et qui s’impose spontanément à l’esprit du chercheur ? En se contractant,
le nuage se condense, augmente en pression et se met en place le mécanisme de
la fusion des éléments…Ici aussi, quoi de plus simple et évident. Mais, il faut
que cette matière soit disponible, il faut déterminer son origine et cela sera
le big bang. On ne peut comprendre cette théorie du big bang si on ne la relie
pas à l’astrogenèse par effondrement. Il n’y avait pas d’autre
solution que de séparer le temps unique de création de toute la matière
universelle de celui multiple des étoiles puis d’imaginer une expansion de
l’Univers pour donner un dynamisme au modèle.
De fait toute la cosmophysique contemporaine repose sur une unique hypothèse
hautement contestable : l’effondrement spontané d’un nuage interstellaire
mais à certaines conditions de masse de telle sorte que sont exclus un grand
nombre d’étoiles de faible masse incapables d’arriver au stade de la fusion
nucléaire.
-Étoile naines qui ne peuvent fabriquer des éléments lourds.
-Un feu d’artifice permanent nécessaire: il faut que les étoiles massives
explosent pour fournir les éléments lourds qui ensuite se retrouvent
miraculeusement au cœur de l’étoile (fer)
-Super géantes qui subissent le flash de l’hélium et explosent
-Naines brunes qui ne connaissent pas la fusion de l’hélium
-Planètes qui se constituent par agglomération par agglomération de déchets stellaires.L’agrégation
des planétésimaux pour est impossible à démontrer dynamiquement, suppose une
grande part laissé au hasard et revient à dire que la fabrication des planètes
résulte d’un entassement de cailloux.
Très souvent, il faut recourir à une onde de choc externe, ou tout autre
procédé pour inciter le nuage à se comprimer. Un nuage interstellaire très
froid ne peut se condenser sans l’intervention d’une force de compression
extérieure (d’où le recours à la création ad hoc des ondes de densités)
La tendance d’un nuage interstellaire est à la dispersion sous l’effet
des forces répulsives EM. La tendance d’un gaz qui se réchauffe est à
l’augmentation en volume sous les effets conjugués de l’agitation des atomes et
de la répulsion électrostatique. Une masse de gaz se comprimant tend à
accroître sa vitesse de rotation et à disperser ses constituants.
On n’a jamais observé une densification d’un nuage préalable à l’allumage.
Toujours on été détectées des protos étoiles allumées. On affirme
postérieurement que la couronne gazeuse est celle qui contribué à la
compression de sorte que nous avons en même TEMPS COMPRESSION pour
l’alimentation et éjection !
La
cosmogénèse contemporaine complique à l’extrême le procédé de création de la
matière et des étoiles.
En multipliant
les étapes en distinguant :* Le temps de création de la matière initiale
(hydrogène, hélium) lors du big-bang.* Le temps de fragmentation puis de
condensation des nuages interstellaires* Le temps et les modes de fabrication
des éléments lourds (internes, par explosions de nova et
accumulation/récupération dans les nuages interstellaires).
L’ALTERNATIVE
Face à l’extrême complexité de l’astrophysique actuelle, nous ne pensons
pas qu’il existe mille manières de créer des étoiles : la nature dans ses
principes premiers est toujours très simple et…répétitive. Toutes les étoiles
et planètes quelque soit leur masse naissent d’identique façon.
Le « cœur photonique « d’une étoile surgit à la suite d’une
onde de choc violence ( cf sursauts gamma) du sein de la substance de l’espace
ou PREMATIERE, comme autant de mini big bang. La création des éléments est
alors l’exacte inverse du modèle actuel : les éléments sont crées au cœur de
l’étoile initialement du plus lourd au plus léger in fine , ce qui explique l’extrême
densité des étoiles pseudo dites à neutrons.
voir :
http://lesnouveauxprincipes.fr/cosmophysique/2-la-naissance-des-etoiles