mercredi 14 juin 2017

4 L'ETRE ET LA PREMATIERE

TEXTE
Si l’être est, et s’il est ce qu’il est, il ne saurait changer. Devenir autre chose serait pour lui cesser d’être. C’est pourquoi nous le retrouvons aujourd’hui tel qu’il s’est d’abord offert, il y a plus de vingt siècles, à l’imagination du poète philosophe grec (Parménide) : une sphère parfaitement homogène et immobile, c’est-à-dire, pour la pensée pure qui s’affranchit des images, un en-soi. Parce que, l’être est l’en-soi pur, il est, mais si l’existence est, ce mode d’être dérivé qui consiste à se poser hors de sa cause, on ne peut pas dire de l’en-soi qu’il existe. A titre d’être, il transcende l’existence. Affranchi de toute relation, inexorablement retranché sur son autisme essentiel, il est, et, précisément parce qu’il est, il n’existe pas.
E. Gilson, L’Etre et l’essence, Vrin 1981 P ;255-256.


COMMENTAIRES
Le texte ci-dessus est peu compréhensible si l’Etre, entendu comme le principe suprême, cause première du Tout du monde reste dans le domaine des essences abstraites comme « être pur en soi ». Tel qu’il apparait dans cet écrit de Gilson, l’Etre, homogène et immobile se donne pour éternel et ne peut exister (au sens de ex- sistere sortir de son état).

Le paradoxe énoncé c’est que l’Etre peut être, mais sans exister : il est, et, précisément parce qu’il est, il n’existe pas. Comment cela est-il possible sachant que l’être est principe de création mais lui-même incréé ? La question revient à se demander : qu’est-ce qu’exister ? Cela consiste à participer au réel en possédant les attributs d’un objet physique et notamment une matière, une forme, une position dans l’espace, la nature de son mouvement éventuel. Dans cette hypothèse, il s’agit de passer de l’être pur abstrait à la matérialité d’un objet créé.

Nous constatons immédiatement l’impasse : comment l’être de l’étant matériel peut-il être déduit d’une abstraction qu’est l’être pur, un en-soi, affranchi de toute relation inexorablement retranché sur son autisme essentiel ? On ne saurait passer du domaine des essences pures, sans contenu, à celui de la réalité matérielle. Nous retrouvons ici l’aporie que rencontrent toute philosophie de l’Etre mais aussi la science cosmologique puisque le big bang créateur semble sorti de l’Etre pur sans consistance physique.

Etant donné que l’existant ne peut ni être sa propre cause ni sortir de lui-même, il faut donc admettre tout à la fois que l’Etre peut demeurer en lui-même immuable et immobile tout en autorisant la « sortie de soi » sous la forme d’un existant. Cela suppose que s’établisse un rapport entre l’état de l’Etre et celui de l’existant tel que l’un engendre l’autre. Mais l’Etre ne peut engendrer la matérialité s’il n’avait quelques accointances substantielles avec l’existant car autrement nous retomberions dans l’aporie du surgissement ex nihilo.
Nous devons donc supposer que l’Etre n’est pas un en soi-pur mais qu’il possède une réalité physique sous forme d’une substance tout à fait originale que nous avons nommé prématière. Celle-ci n’est pas affranchie de toute relation inexorablement retranché sur son autisme essentiel mais au contraire elle se trouve omniprésente dans toutes les dimensions de l’espace, comme elle constitue « l’intérieur »de la matière, qui se trouve elle-même plongée dans cette prématière de l’espace.

Dès lors, l’opposition entre être et exister trouve une claire explication : la prématière EST et demeure en elle-même un en soi éternellement présente mais n'ex-iste pas, , seule la matérialité ex-iste comme étant.La dualité Etre/Etant trouve ici sa pleine justification.

dimanche 11 juin 2017

3 - PROPRIETES DE LA PREMATIERE ET ATTRIBUTS DE DIEU




Il doit être affirmé dès l’abord que l’analyse suivante relève d’un point de vue strictement matérialiste et scientifique et ne saurait ouvrir un nouveau champ de controverses quant aux rapports entre science et religion.


Au cours de nos analyses, nous avons été amenés à préciser et définir les qualités, propriétés et spécificités d’une nouvelle substance qui compose et structure l’espace à savoir la prématière. L’existence de cette nouvelle substance, qu’il faut radicalement différencier de l’ancien éther, s’est imposée pour expliquer nombre de phénomènes issus du vide, notamment la transmission d’un mouvement à distance, la composition des ondes électromagnétiques et des photons, la vitesse constante et limite de la lumière, la résistance au mouvement dans l’espace, l’origine et les modalités d’apparition de la matière etc..


A partir de ces phénomènes observés et mesurés, nous avons été contraints de préciser les propriétés pour en rendre compte et notamment l’une d’entre elles, remarquable, à savoir la conciliation entre rigidité et élasticité qui n’a pas d’équivalent pour la matière.


Il peut être alors curieux qu’au siècle de la science triomphante  se trouve une substance aussi omniprésente qui est restée encore dans le secret et pour tout dire non découverte. C’est que cette prématière existe sans exister au sens de la matérialité puisqu’elle ne peut jamais être saisissable comme telle ni faire l’objet d’une expérience pour prouver sa « réalité ». C’est en ce sens que la croyance en cette prématière doit faire l’objet d’un acte de foi puisque, comme un Dieu, elle ne peut jamais être perçue par les sens. Elle ne peut être prouvée que par l’existence des ondes électromagnétiques à condition de croire que ces ondes sont bien composées de cette prématière.


Cette prématière, comme Dieu, est éternelle et incréée puisque l’espace-substance n'a pu surgir d’un néant originel, d'un lieu où elle se trouvait en réserve. Elle existe partout puisque remplissant le vide et se trouve justement interne à  toute la matérialité car toute matière a pour composition cette substance de l’espace. Elle est donc partout, dans l’espace et la matière, et se trouve comme le Dieu à l’origine du Tout. Elle est également infinie  puisqu’on ne peut imaginer une frontière qui séparerait l’espace et le néant, cause unique du mouvement et de la production de l’énergie universelle bien qu’elle soit par essence inerte, uniforme et  absolument continue.


Ainsi on  ne cesse d’être étonné par la presque similitude entre les propriétés  de la prématière et les attributs de Dieu à savoir et pour nous résumer :


Existant partout, pénétrant et étant dans toute la matérialité, Cause première et Cause du Tout, présente et absente en même temps car jamais saisissable en tant que telle, infinie, incréée et éternelle, source de toute énergie sans être elle-même énergie, inerte mais cause du mouvement, elle ne peut être jamais montrée, isolée, représentée. Une seule différence d’avec Dieu : on ne peut lui prêter des attributs humains.

vendredi 9 juin 2017

2 - ETHER ET PREMATIERE

Quelques un de nos lecteurs qui adhèrent à nos thèses sur le « plein » de l’espace ont tendance à rabattre cette inconnue qu’est la prématière sur le connu, à savoir le vieil éther. Et il est vrai que celui-ci fut fort utile en un temps où il était difficile d’admettre que l’espace fut le lieu du Rien. Il est d’ailleurs symptomatique que le début de la physique moderne s’amorçât avec le rejet par Einstein de l’éther.
De fait l’éther devait remplir deux fonctions : celle de servir de support aux ondes EM et pouvoir transmettre le mouvement à distance au moyen de ces mêmes ondes. Cette transmission à la vitesse C supposait un éther d’une densité telle que cela paraissait incompatible avec la fluidité  exigée par ce milieu pour tout mouvement en son sein. Très haute densité et extrême fluidité étaient manifestement incompatibles ce qui entrainât le rejet de l’éther, bien plus que l’échec de l’expérience de Michelson et Morley destinée à mesurer un « vent d’éther ». Ainsi, Einstein trouva-t-il l’espace « nettoyé », évidé, pour lui permettre d’installer ces différents champs géométriques qui pouvaient aussi bien se passer de support.

L’éther avait été défini comme une substance « éthérée » c’est à dire très fluide et si peu perceptible que les instruments de sa capture n’ont pas réussi à le saisir. De plus, l’éther qui remplissait l’espace ne constituait pas la « structure » de celui-ci : l’espace était le contenant et son contenu l’éther. Enfin, les ondes EM ne pouvaient avoir comme support cet éther compte tenu de leur vitesse élevée. Et dernière difficulté : sa très grande fluidité ne pouvait justifier une limite à la vitesse d’un mouvement en son sein si bien qu’une vitesse infinie était envisageable. L’espace plein d’éther ne pouvait être le « lieu » de la résistance initiale au mouvement. On verra qu’Einstein du attribuer cette résistance à la masse elle-même qui s’autolimite en augmentant son énergie cinétique.

Si l’on persiste à penser que l’espace ne saurait être le lieu du Rien et qu’il est absolument nécessaire qu’une onde pour surgir et circuler doit s’initier à partir d’un milieu homogène, il faut donc affronter directement la contradiction densité-fluidité. Il faut également répondre aux insuffisances du concept d’éther quant à la structuration de l’espace relativement au rapport contenant/contenu. Il faut aussi rendre impossible la perspective d’une vitesse infinie dans un milieu n’offrant aucune résistance au mouvement. Enfin les découvertes de la physique quantique concluent à la possibilité d’extraire de la matière à partir du « vide quantique » auquel on attribue un potentiel énergétique.
Comme on le constate, toutes ces exigences et contraintes sont très loin d’être satisfaites par l’ancien éther et c’est avec raison qu’Einstein en profita pour le reléguer au cimetière des idées disparues. Nous en ferons de même mais sur de toutes autres bases.

Le point central de notre démonstration est d’assumer pleinement la contradiction fluidité/densité en arguant qu’on ne saurait exiger pour l’espace des propriétés qui sont celles de la matière. Il s’agit en effet d’inverser la perspective : ce n’est pas la matière qui sur-détermine l’espace, lui attribue des propriétés, mais c’est au contraire l’espace qui commande aux propriétés de la matière. Jusqu’à présent, nous avons été victime d’un « logocentrisme » à l’occidental ou plutôt d'un « matérialo-centrisme, qui tend à attribuer à la matière sa propre origine sui generis et à appliquer à toute autre chose – l’espace – ses propres définitions et contraintes.
S’agissant d’une « substance » différente – et qui n’est pas l’éther – on doit l’analyser en tant que telle, à partir de ce que l’on découvre de ses propriétés et notamment de pouvoir concilier fluidité et densité. Paradoxalement, c’est parce que la substance est absolument dense et totalement uniforme, puisque non composée d’éléments séparés comme la matière, qu’elle autorise A LA FOIS, la vitesse élevée des ondes EM et la faible résistance (qui n’est pas nulle) pour un corps s’y déplaçant en son sein. Paradoxalement pour nous autres « matérialistes » c’est parce que cette substance est extrêmement fluide que les ondes peuvent circuler à la vitesse inouïe de C ! Elles ne rencontrent en effet qu’une faible résistance à leur mouvement et une infime énergie h suffit à leur ébranlement.
Cette substance de l’espace – que nous avons dénommé PREMATIERE pour montrer sa proximité d’engendrement avec la matière – est celle-là même qui structure l’espace tout à la fois contenant et contenu. Elle EST totale et immédiate présence et ne saurait représenter un hypothétique « arrière monde » du type subquantique surdéterminant mystérieusement l’univers quantique de la matérialité mesurable.
En définitive bien d’autres propriétés originales permettent d’expliquer nombre de phénomènes que nous avons longuement détaillé par ailleurs (vitesse limite et constante par exemple). Mais ce qu’il faut retenir c’est les différences RADICALES qui séparent l’éther ancien de la prématière.

1 -LA PREMATIERE CETTE INCONNUE

Nous commençons  la nouvelle publication d'articles déjà parus en sélectionnant ceux qui nous paraissent les plus pertinents


Si nous connaissons parfaitement la matière, la prématière  quant à elle mériterait qu’on s’attarde davantage sur sa nature propre. Nous voudrions revenir sur ses curieuses propriétés qui se trouvent aux fondements de la nouvelle physique voire métaphysique que nous essayons ici de promouvoir. Elle fait l’objet d’une « incroyance » certaine alors même qu’il est plus aisé en physique de donner un semblant de réalité à un objet plus qu’hypothétique qu’est la matière noire.

Il est assez étrange de devoir insister auprès de mes contemporains pour les déciller de leur aveuglement devant l’évidente « réalité » de cette prématière qui se trouve « exister » en bien plus grande abondance, si l’on peut dire, que la simple matière que nos sens perçoivent. Et l’on pourrait crier à la honte et au scandale, à l’incroyable incurie de nos plus grands savants de n’avoir pas découvert cette autre que la matière si tellement présente en tous lieux de l’espace puisque constituant la substance même de l’espace. Et que, ayant le nez même au contact quotidien de cette substance, ils ne se soient pas aperçus de son existence pour préférer divaguer au moyen de théories plus abstraites et farfelues les unes que les autres.

C’est que cette substance de l’espace ne se donne pas à l’évidence de nos sens et que nous ne pouvons prouver sa « réalité » que par ses effets. Ceux-ci sont principalement de deux sortes : elle constitue la substance même des ondes électromagnétiques et agit comme une résistance au mouvement en son sein. Cette dernière propriété explique qu’on ne puisse dépasser la vitesse de la lumière et qu’une particule lorsqu’elle s’approche de cette vitesse soit freinée et émette un rayonnement. De même, la prématière étant absolument continue, une onde peut se propager à une vitesse qui n’a plus rien à voir avec ce que nous connaissons de la transmission d’un mouvement dans les corps matériels ou gazeux. Nous pourrions continuer à décrire ses multiples propriétés  comme celle d’être à la fois impalpable et rigide ce qui la distingue radicalement de la matière, mais le problème n’est pas là. Il est dans cette absolue incrédulité quant à son existence comme substance différente de la matière, l’impossibilité de faire entendre raison sur l’avancée décisive pour la science que constituerait sa « découverte ».

Il nous paraît évident que la reconnaissance du rôle que joue cette prématière permettrait une toute nouvelle compréhension de nombre de phénomènes tout en assurant les bases d’une future unification des physiques et cosmophysique. Dès lors toutes les tentatives dans cette direction qui n’intègrent pas cette substance absolument essentielle d’où toute la matérialité tire son origine, ne peuvent qu’aboutir à des échecs. Hélas, pour l’heure, ce qui nous est le plus proche – puisque nous baignons dedans – demeure encore le plus lointain

jeudi 8 juin 2017

1 - QUAND NURSERIE RIME AVEC CIMETIERE

L'ARTICLE

Sharp images a identifié une foule d'astres nouveau-nés comme source d' éclats radio rapide. La découverte renforce l'idée que ces brèves impulsions d'ondes radio proviennent d'étoiles à neutrons nouvellement formées, d'objets super-denses à seulement 20 kilomètres de rayon. .Au cours de la dernière décennie, les astronomes ont détecté environ deux douzaines de rafales radio rapides. Chacune ne dure que quelques millisecondes, et les tentatives de les expliquer ont invoqué ont été multiple. Jusqu'à récemment,nous ne savions même pas si les éclats étaient apparus dans notre galaxie ou au-delà. Mais en janvier, les chercheurs ont annoncé une percée. Ils ont trouvé le lieu d'une explosion rapide radio appelée FRB 121102: une petite galaxie dans la constellation Auriga à 2,4 milliards d'années-lumière de la Terre.

Cees Bassa de l'Institut néerlandais de radio-astronomie à Dwingeloo et ses collègues ont utilisé le télescope spatial Hubble pour étudier la galaxie."Les observations de Hubble nous permettent d'avoir une image très nette", déclare Shriharsh Tendulkar, membre de l'équipe de l'Université McGill à Montréal, au Canada. "Il y a un aspect très brillant de la formation d'étoiles, et ce FRB se trouve à l'intérieur."Pendant ce temps, les astronomes japonais dirigés par Mitsuru Kokubo de l'Université de Tohoku à Sendai ont utilisé le télescope Subaru de 8,2 mètres à Hawaii pour cibler la galaxie. Les images Hubble et Subaru montrent que le complexe formant des étoiles se trouve sur la périphérie de la petite galaxie. La pépinière stellaire est à 6200 années-lumière du centre de la galaxie et s'étend sur 4400 années-lumière, beaucoup plus grande que celles connues dans la voie lactée.

«C'est une galaxie extraordinaire», explique Dale Frail, de l'Observatoire national de la radio astronomie de Socorro, au Nouveau-Mexique. "Par rapport à sa petite taille, elle engendre des étoiles à un taux prolifique".Cela souligne la cause des éclats de radio rapides. "Cela nous dit qu'ils se produisent probablement dans de jeunes étoiles à neutrons", explique Jonathan Katz, de l'Université de Washington à St Louis, dans le Missouri.
Beaucoup d'astronomes préfèrent déjà cette explication car la courte durée des rafales suggère que la source était minuscule. Les étoiles de neutrons correspondent à la facture, et les jeunes, à rotation rapide ont beaucoup d'énergie à libérer. Ils se forment lorsque des étoiles massives de courte durée qui meurent dans leurs pépinières stellaires.Mais personne ne sait encore si la même idée explique d'autres rafales de radio rapides. Le FRB 121102 est unique: les astronomes l'ont vu apparaître environ 30 fois mais les autres une seule fois. Katz soupçonne qu'ils peuvent tous avoir la même cause, mais Frail dit: "Je serais réticent à tirer des conclusions aussi larges basées sur un échantillon d'un".
Référence du journal: arxiv.org/abs/1705.07698 et arxiv.org/abs/1705.04693


COMMENTAIRES

On peut être étonné que dans les lieux de formation d'étoile se trouvent également des astres en fin de vie ayant déjà accompli tout le cycle stellaire : les étoiles à neutrons.

Une étoile à neutrons est un astre principalement composé de neutrons maintenus ensemble par les forces de gravitation. De tels objets sont le résidu compact issu de l'effondrement gravitationnel du cœur d'une étoile massive quand celle-ci a épuisé son combustible nucléaire.
La plupart des étoiles entre 8 et 60 masses solaires finissent leur vie ainsi, laissant derrière elles une étoile à neutrons d'environ 1,4 masse solaire. Il faut donc un développement particulièrement rapide de ces étoiles hyper massives pour que, à peine nées elle croissent, explosent et disparaissent. Cohabiteraient en un même lieu des étoiles naissantes et vieillissantes. L'origine de cet oxymore est l'interprétation des éclats radios qui ne pourraient provenir que d'étoiles de faible rayon. Le bestiaire de l'astrophysique étant assez limité, on ne dispose que des étoiles à neutrons pour en expliquer l'origine. Il ne viendrait à l'idée d'aucuns qu'une étoile de forte densité et de petite taille pourrait être tout simplement une étoile naissante. Et puisque situé en un lieu où on observe un grand nombre de proto étoiles, elles seraient évidemment à leur place.
Dans l'astrophysique alternative dont nous essayons vainement de montrer la pertinence, une étoile surgit de la substance de l'espace et paraît à l'origine embryonnaire puis ne cesse de gagner en volume en produisant ses propres éléments. Notre théorie est donc en parfait accord avec les observations puisque lors de la croissance de l'étoile – dont la température est extrême – elle émet un puissant rayonnement résultant de son activité de fusion des éléments.