mercredi 30 novembre 2022

156 -LES THEORIES LOUFOQUES DE L’ASTROPHYSIQUE ACTUELLE - ( 3)

Nous nous proposons de passer en revue quelques une des théories actuelles pour en démontrer les insuffisances, les lacunes, voire leur fausseté, beaucoup d’entre elles étant des affirmations que n’étaye aucune expérience directe et supposent une interprétation des observations biaisées par le cadre théorique déjà préétabli.

 3- - L’EFFET DOPPLER COSMOLOGIQUE

C’est l’exacte contrepartie d’une univers surgit un jour du néant et qui doit se déployer et s’étendre : c’est l’expansion. L’effet Doppler cosmologique mesure alors la vitesse de fuite des galaxies (le redshift), qui s ’éloignent d’autant plus rapidement qu’elles sont éloignées. Mais on s’aperçoit rapidement de l’ineptie de la mesure puisque des galaxies peuvent avoir des décalages spectraux supérieurs à 1 et, aller plus vite que la vitesse de la lumière.

Tout devient alors plus « subtil » : CE N’EST PAS LA GALAXIE QUI A UNE VITESSE SUPÉRIEURE MAIS L’UNIVERS QUI SE DILATE » La galaxie garde sa vitesse propre, assez faible, mais DE FAIT on la voit s’éloigner et l’effet Doppler est là pour la mesurer…Quels raisonnements de béotien, comment la science la plus « pointue » peut-elle accepter de telles ineptie qui aboutit à ce que les galaxies tout à la fois sont emportées par l’expansion et demeurent quasi immobiles. Quelle est donc la nature de cette force inouïe , cette énergie, détenue par l’espace qui est capable de pousser des galaxies composées de milliards d’étoiles ?

Mais de fait, le problème a affronter était le suivant : comment expliquer l’affaiblissement du rayonnement en provenance des galaxies si on refuse de considérer que l’espace en tant que tel peut avoir un effet pour « fatiguer la lumière ». Durant son parcours sur des milliards d’années lumière , le redshift peut-il demeurer insensible aux aléas du parcours et nous parvenir tel qu’il aurait été émis à l’origine ? …

L’ ALTERNATIVE

La question est de savoir s’il existe un principe de freinage interne à l’espace, si celui-ci en tant que tel exerce un effet d’inertie, si, traverser cet espace « coûte » de l’énergie. Et en effet, si l’espace était de nul effet sur les corps qui le traverse, ils pourraient atteindre des vitesses infinies.

De fait, la prématière qui compose l’espace fonctionne comme le principe premier d’inertie qui tend à affaiblir les ondes en proportion de la distance parcourue. Ce freinage est mesuré à partir de la constante de Hubble.

Nous avons pu la calculer théoriquement en prenant pour base l’énergie nécessaire pour créer une paire électron/positron :*

 

Soit : Ho = 71081, 34126 m/s

https://position-physique.blogspot.com/2021/02/129-determination-reciproque-que-la.html

 

mardi 29 novembre 2022

 

155 -LES THÉORIES LOUFOQUES DE L’ASTROPHYSIQUE ACTUELLE (2)

Nous nous proposons de passer en revue quelques une des théories actuelles pour en démontrer les insuffisances, les lacunes, voire leur fausseté, beaucoup d’entre elles étant des affirmations que n’étaye aucune expérience directe et supposent une interprétation des observations biaisées par le cadre théorique déjà préétabli.

 2 -L’expansion de l’espace

 L’espace en tant qu’être physique, doit avoir quelque réalité effective et des propriétés spécifiques pour pouvoir aussi bien se dilater que se contracter- il doit exister comme phénomène physique, sous peine de n’être rien. Il doit surtout se distinguer de la matière

 L'espace n'est pas comme le pense la relativité le simple  lieu du positionnement et de la mesure de la distance entre les corps et qui ne peut exister sans la présence de matière. On peut alors se demander comment ce non être, sans substance, peut bien se courber sous l’action d’une masse, supporter des champs électromagnétiques et être à l’origine d’actions et de réactions comme par exemple l’effet Casimir..

Dès lors que matière et espace sont conjoints, l’un ne pouvant pas exister sans l’autre, si la matière disparait, l’espace n’est plus !

 C’est le tour de passe- passe magique opéré par la cosmophysique actuelle : l’espace AVANT le big bang n’existait pas, il surgit dans le même temps que la matière. C’est le Fiat lux intégralement repris du début de la Genèse, la première parole de Dieu, ordre donné lorsqu'il a créé la lumière le premier jour de la création du monde,

Et puisque nous sommes dans les cosmologies d’’un début des temps, il faut bien que l’univers se déploie et commence la grande saga de l’expansion.

« C’est l’univers lui-même, sans objet ni centre, qui est en expansion. En s’élargissant, il entraîne les galaxies, si bien que les distances entre elles augmentent…Au sens strict, la relation ne s’appliquer par aux galaxies individuelles mais plutôt aux amas de galaxies » (James Kaler in Les étoiles ed.Belin p 215)

On ne peut songer à aucun centre de l'Univers à partir duquel l'expansion se développerait puisque ce lieu devrait se positionner dans un espace, ce qui impliquerait une antériorité de l'espace à la création. Aussi, la création, serait développement, agrandissement, extension, expansion de l'espace créant son propre lieu.  C'est tout simplement l'espace entier qui est en expansion Pour cela, il est nécessaire de recourir à l'image d’un ballon de baudruche constellé de taches (les galaxies) qui s'éloigneraient les unes des autres lorsqu'on le gonfle. Les galaxies ne sont pas animées d'un mouvement interne, mais c’est l'espace lui-même qui emporte les galaxies comme un bateau est entraîné par les courants. Le concept nouveau de Co mobilité, sans aucun fondement théorique, vient opportunément donner un cadre rationnel à ce phénomène.

 A cette impressionnante inventivité scientifique,trois questions peuvent se poser :

1) Un espace en expansion, sur quel néant cet espace étend-t-il son empire ?

2) L'expansion de l'espace/matière suppose nécessairement un bord, une limite, au-delà de laquelle il ne se trouve plus d'espace. Les artifices mathématiques d'un univers sphérique ne sauraient dissimuler ce vice rédhibitoire. Qu'en est-il de l'espace situé au-delà de l'atome de matière le plus extrême ? (étant entendu qu'au-delà de la dernière des galaxies, il n'y plus ni espace, ni matière)

3) Par quelle énergie l'espace peut-il se mouvoir, d'où viendrait-elle puisque seule la matière semble énergétique.

 Ps : nous traiterons par ailleurs la question du décalage spectral autrement que comme la mesure du mouvement de fuite des galaxies.

 L’ALTERNATIVE

Il s’agit avant tout de donner à l’espace une RÉALITÉ physique susceptible d’actions et de réactions et pour cela lui donner des PROPRIÉTÉS distinctes de la matière comme d’être absolument continue, insécable, totalement homogène, inerte ( principe premier de l’inertie) bref de définir la PREMATIERE comme à la fois contenant et contenu de l’espace.

lundi 28 novembre 2022

154 -LES THEORIES LOUFOQUES DE L’ASTROPHYSIQUE ACTUELLE ( 1)

Nous nous proposons de passer en revue quelques une des théories actuelles pour en démontrer les insuffisances, les lacunes, voire leur fausseté, beaucoup d’entre elles étant des affirmations que n’étaye aucune expérience directe et supposent une interprétation des observations biaisées par le cadre théorique déjà préétabli.

1- L’invention du big bang aura été le canular le plus grossier du XXeme siècle dont se gausseront encore longtemps nos descendants.

On peut se demander en effet de quel néant a surgit la boule de feu initiale et comment un objet physique  peut surgir d’un non être ?

On peut se demander quelle est la procédure par laquelle la matière passe de l’inexistant à l’existant et pourquoi les matière/espace/temps infiniment concentrés depuis l'éternité d'avant le temps se décident-ils à exploser subitement et à s'étendre il y a 13 milliards d'années ?

Des galaxies de plus en plus lointaines vont être découvertes qui ne cesseront de faire reculer l’âge de l’Univers. Ces galaxies vont avoir des vitesses de fuite dépassant celle de la lumière.

On peut remarquer que l’idée d’une singularité initiale et la concentration infinie de l’espace-temps-matière consécutive à l’application de la métrique relativiste est une simple construction de l’esprit qui ne peut trouver aucune traduction dans le réel puisque c’est une impossibilité physique radicale. Imagine t-on les milliards de milliards de galaxies réduites au volume d’un proton comme certains l’ont proposé !

Le big bang est tout entier redevable du judéo-christianisme et d’une façon générale de toutes les cosmogonies qui envisagent une CRÉATION du monde, un commencement  des temps. Nous ne saurions énumérer la longue liste des circonvolutions théoriques destinées à camoufler cette impossibilité radicale :

                                                    ex nihilo nihil fit

 

L’ALTERNATIVE

  • Il s’agit de poser les condition d’un univers conciliant éternité et temporalité, statisme et dynamisme. L’espace-substance est seule éternelle et incréée, infinie, dans toutes les directions et se compose d’une substance :la prématière rigide et insécable. Toute matière surgit en son sein et y retourne en un cycle perpétuel. Toutes les étoiles naissent et meurent d’identique façon autorisant le dynamisme et l’évolution générale de l’univers.

dimanche 27 novembre 2022

 

153 -  LA TARTE A LA CRÈME DES ÉTOILES A NEUTRONS

L’ARTICLE

Une équipe d'astronomes dirigée par l'Université Northwestern a développé l'inventaire le plus complet à ce jour des galaxies d'où proviennent les sursauts gamma courts (SGRB). À l'aide de plusieurs instruments très sensibles et d'une modélisation sophistiquée des galaxies, les chercheurs ont identifié les foyers galactiques de 84 SGRB et sondé les caractéristiques de 69 des galaxies hôtes identifiées. Parmi leurs découvertes, ils ont découvert qu'environ 85% des SGRB étudiés proviennent de jeunes galaxies en formation active d'étoiles. Les astronomes ont également découvert que davantage de SGRB se produisaient à des époques antérieures, lorsque l'univers était beaucoup plus jeune - et à de plus grandes distances des centres de leurs galaxies hôtes - qu'on ne le savait auparavant.

"Il s'agit du plus grand catalogue de galaxies hôtes SGRB à avoir jamais existé, nous nous attendons donc à ce qu'il soit l'étalon-or pour de nombreuses années à venir", a déclaré Anya Nugent, une étudiante diplômée du Nord-Ouest qui a dirigé l'étude axée sur la modélisation des galaxies hôtes. "Construire ce catalogue et enfin avoir suffisamment de galaxies hôtes pour voir des modèles et tirer des conclusions significatives est exactement ce dont le domaine avait besoin pour pousser notre compréhension de ces événements fantastiques et de ce qui arrive aux étoiles après leur mort." L'équipe a publié aujourd'hui (21 novembre) deux articles détaillant le nouveau catalogue dans The Astrophysical Journal. Parce que les SGRB sont parmi les explosions les plus brillantes de l'univers, l'équipe appelle son catalogue BRIGHT (Broadband Repository for Investigating Gamma-ray burst Host Traits).

Référence pour les futures comparaisons Lorsque deux étoiles à neutrons entrent en collision, elles génèrent des éclairs momentanés de lumière gamma intense, appelés SGRB. Alors que les rayons gamma ne durent que quelques secondes, la lumière optique peut continuer pendant des heures avant de s'estomper en dessous des niveaux de détection (un événement appelé rémanence). Les SGRB font partie des explosions les plus lumineuses de l'univers avec, tout au plus, une douzaine détectées et repérées chaque année. Ils représentent actuellement le seul moyen d'étudier et de comprendre une large population de systèmes d'étoiles à neutrons en fusion.

Depuis que l'observatoire Neil Gehrels Swift de la NASA a découvert pour la première fois une rémanence SGRB en 2005, les astronomes ont passé les 17 dernières années à essayer de comprendre quelles galaxies produisent ces sursauts puissants. Les étoiles d'une galaxie peuvent donner un aperçu des conditions environnementales nécessaires à la production de SGRB et peuvent relier les sursauts mystérieux à leurs origines de fusion d'étoiles à neutrons. Jusqu'à présent, un seul SGRB (GRB 170817A) a une origine confirmée de fusion d'étoiles à neutrons - car il a été détecté quelques secondes seulement après que des détecteurs d'ondes gravitationnelles ont observé la fusion binaire d'étoiles à neutrons (GW170817).

 COMMENTAIRES

 «  Parmi leurs découvertes, ils ont découvert qu'environ 85% des SGRB étudiés proviennent de jeunes galaxies en formation active d'étoiles » Or par ailleurs on note : » leurs origines c’est fusion d'étoiles à neutrons » C’est pour le moins contradictoire. Nous avons affaire d’un côté à zone de naissance de jeunes étoiles, de l’autre nous avons un étoile à neutrons en fin de vie, ayant explosé. L’astrophysique dispose de pauvres explications et recourt à la tarte à la crème des étoiles à neutrons improbables dont on n’a jamais apporté la moindre preuve d'un quelconque effondrement suite à une explosion.. C’est une pure invention ad hoc que ces étoiles au cœur chaud et dense dites « à neutrons ».

 Tout au contraire dans la théorie que nous proposons, les sursauts gamma proviennent d’une étoile naissante en train de produire et d’éjecter sa propre matière de façon extrêmement énergétique au moyen d’un cœur photonique de grande densité à température absolue et à rotation très rapide.