lundi 20 mars 2023

159 -CES ETOILES MORTES VIVANTES

 L’ARTICLE

On connaît les de Wolf-Rayet depuis 1867. Elles ont été découvertes, comme leur nom le suggère, par Charles Wolf et Georges Rayet, de l'Observatoire de Paris en observant trois étoiles de la constellation du Cygne pour y faire des études relevant d'une toute jeune discipline alors en plein développement suite aux travaux du allemand Gustav Kirchhoff et du chimiste Robert Bunsen : la spectroscopie.

Ces étoiles apparaissaient comme anormales du fait de la présence d'étranges en d'origine alors inconnue. Les astrophysiciens du XXe siècle vont comprendre que les étoiles WR sont des étoiles massives dépassant les 10 masses solaires que l'on observe en fin de vie alors que des instabilités les conduisent à expulser une partie de leurs couches supérieures, en prélude à des explosions en supernovae de type II.

Elles ne vivent donc que quelques millions d'années tout au plus sur la séquence principale en synthétisant des éléments, comme le et l', avant de s'effondrer gravitationnellement. L'explosion laissera alors comme cadavre stellaire une étoile à neutrons et pour les plus massives des étoiles, parfois des trous noirs stellaires.

En observant aujourd'hui WR 124, le James-Webb nous montre dans l' et avec de fausses une étoile agonisante contenant environ 30 masses solaires et qui, déjà, en a expulsé avec des puissants une dizaine tout au plus.

La phase dite de phase Wolf-Rayet pour les étoiles massives est brève. La matière qu'elles éjectent se refroidit en donnant des poussières carbonées et silicatées. On pense que c'est l'une des sources de formation des poussières dans les galaxies mais la proportion à laquelle elles contribuent n'est pas claire car le souffle et surtout la température des explosions de supernovae SN II peut détruire ces poussières.

Le James-Webb devrait nous aider à y voir plus clair en étudiant des étoiles comme WR 124. Rappelons que les poussières jouent aujourd'hui un rôle important dans la formation des étoiles car elles servent à dissiper une partie de la dans un protostellaire en pour donner une . Un nuage trop chaud aura tendance à s'opposer par sa à son effondrement. Les poussières enfin sont le de base d'où naîtront les .

On comprend donc tout le potentiel que les astrophysiciens et cosmochimistes pourront tirer des observations avec le JWST, surtout quand on se rappelle que c'est dans les gangues de glace entourant les poussières dans les nuages moléculaires, où naissent les étoiles, que se produisent des réactions chimiques prébiotiques complexes et riches.

COMMENTAIRES

On peut interpréter tout autrement ces observations car nous ne sommes pas obligés de croire qu’il s’agit d’une étoile en fin de vie alors même que son activité est extrême. Aucune observation n’a jamais montré le passage de l’explosion à l’effondrement et la résolution en étoile à neutrons, l’ OVNI de la physique. On apprend également que des poussières suivent ces hautes chaleurs, poussières suffisamment froides pour s’enflammer et provoquer des réactions nucléaires de naissance d’une nouvelle étoile !!!

Nous avons affaire en cosmologie à une étrange science qui fonctionne sans preuve, par suppositions, qui déduit des observations des conclusions souvent aberrantes et qui sont cautionnées par les plus hautes autorités de cette science à partir du moment où les conclusions sont en accord avec la cosmologie standard.

Nous pensons tout au contraire que les étoiles WR sont de jeunes et massives étoiles naissantes qui auto produisent leurs éléments en expulsant une fraction

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