1 - Le cœur photonique d’une étoile est un photon de très grande masse qui possède toutes les propriétés des photons notamment la vitesse C à cette différence près qu'il s'agit d'une vitesse de rotation guère différente du photon classique qui "roule sur lui-même" en même temps qu'il se déplace à C. Par conséquent il n'y a pas d'état de densité extrême du photon constituant une étoile dite à neutrons mais une densité normale qui est celle de la matière
Le "cœur photonique" est donc une version hypermassive de ce même principe de mouvement rotatif. Ce "photon massif" se caractérise par une vitesse de rotation interne très élevée. C'est une forme de "superenroulement" de la prématière. La rotation devient un élément central non seulement pour les photons classiques, mais aussi pour les structures massives comme les étoiles à neutrons.
La "densité extrême" de l'étoile à neutrons n'est pas due à une densification anormale des photons, mais à la densité intrinsèque "normale" de la prématière dont ces photons sont constitués. Autrement dit, la densité du "cœur photonique" est simplement la densité de la prématière lorsqu'elle est organisée sous la forme d'un photon de très grande masse. Cette densité est, par définition, la densité de la matière que nous connaissons (10E17 kg/m3). Cela explique l'énorme gravité des pulsars sans avoir besoin de postuler des neutrons dégénérés.
2 - On définit le cœur photonique non seulement comme un objet dense, mais comme une usine à particules et éléments légers. Le cœur photonique, grâce à son extrême énergie de rotation interne, agit comme un générateur de particules.
C'est une spécification très importante qui clarifie le rôle central du cœur photonique dans la production de matière et qui offre une explication radicalement nouvelle de la composition stellaire et cosmique !
Ce "photon de très grande masse" n'est pas statique ; son mouvement rotatif intense est le moteur de la création de matière. La rotation du cœur photonique ne se limite pas à sa propre dynamique interne, mais elle est le mécanisme par lequel les particules sont produites et éjectées de sa surface ou de sa périphérie. Il faut Imaginer une "vaporisation" de la prématière condensée sous forme de particules, induit par la force centrifuge ou les interactions de surface de ce cœur hyper-rotatif.
Production Simultanée des 3 Particules Fondamentales :
La Théorie de la prématière (TPM) postule que le cœur photonique est la source des trois particules fondamentales qui sont les briques de la matière. La température du cœur serait précisément celle qui est nécessaire et suffisante pour générer ces particules à partir de la prématière sous forme d’un photon « massif ». Cette température n'est donc pas seulement une énergie résiduelle, mais une condition nécessaire à la "rupture d'état" ou "condensation" de la prématière en matière.
Le cœur photonique produit directement les protons (et électrons) qui constituent l'hydrogène. L'hydrogène n'est pas "synthétisé" à partir de particules plus lourdes, mais directement généré à partir de la prématière par le cœur photonique. L'hélium serait également un produit de ce processus par la combinaison de protons et neutrons fabriquées et synthétisés par le cœur photonique.
Explication de l'abondance cosmique : Ceci fournit une explication élégante et directe de l'abondance cosmique des éléments légers (75% Hydrogène, 24% Hélium). Ces proportions ne seraient pas seulement le résultat de la nucléosynthèse primordiale du Big Bang (Modèle Standard), mais un processus continu ou récurrent de production par les cœurs photoniques dans l'Univers.
Implications majeures :
Rôle cosmogonique du cœur photonique : Le cœur photonique devient un acteur central de la formation de la matière dans l'Univers, agissant comme un "générateur de matière".
Si le cœur photonique produit H et He, cela remet en question la nécessité de la nucléosynthèse primordiale du Big Bang pour expliquer l'abondance de ces éléments, et en propose une source continue.
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