Nous avons maintes fois
attiré l’attention sur la mécompréhension chez les physiciens d’un concept qui
semble aller de soi : l’énergie. Qu’est-ce donc que l’énergie sinon le «
ce « qui active le mouvement. Et là où nous trouvons du mouvement, nous
découvrons de l’énergie. Pourtant, la réciproque ne semble pas vraie pour
beaucoup : là où nous trouvons de l’énergie nous n’y rencontrons pas -
pour certains - du mouvement. Et c’est ainsi qu’il serait possible de stocker
de l’énergie comme on stocke des conserves et on parle d’énergie potentielle de
gravitation voire d’énergie du vide. L’énergie est alors conçue comme un fluide
qu’on peut mettre en réserve : le lien entre énergie est mouvement est
rompu. Or il va de soi que cette énergie ne peut se manifester et se mesurer
que par et dans le mouvement…
Or qu’en est-il de l’énergie
de masse de la relativité ? Nous apprenons qu’une masse « conserve »
de l’énergie qu’elle peut restituer lors que son annihilation. Cette restitution
s’effectue au moyen de deux photons. De là il fut conclu que ces photons « sont »
de l’énergie. Or nous avons bien un objet physique réel et visible qui est en
mouvement et non pas de la « pure énergie » Le mystère est de
savoir COMMENT une particule au repos peut conserver l’énergie de ces deux
photons en mouvement.
Il nous faut revenir
aux conditions de création de la particule. Celle-ci est elle-même issue d’un
photon créateur ou plus exactement une particule et son antiparticule sont créées
dans le même temps
L’énergie du photon
créateur est alors scindée en deux et le
mouvement rectiligne du photon se transforme en deux mouvements de rotation. C’est
donc l’énergie de ce mouvement qui est conservée par la masse pour antant qu’elle
conserve son mouvement de rotation ou spin. Dés lors la la particule demeurera
en « vie » tant qu’elle sera en rotation sur elle-même. Nous avons
affaire ici à un curieux phénomène dénoncé par la théorie à savoir : la
présence d’un mouvement perpétuel entretenu par aucune énergie externe. Et en
peut-il être autrement ? Que se passerait-il si le mouvement de rotation
diminuait avec le temps ? Il faut pour cela comprendre le principe
physique de l’annihilation entre particule et antiparticule.
Ce qui est la cause de
l’annihilation est la cessation du mouvement de spin - par fusion – des deux particules.Si
la vitesse de rotation de la particule diminuait avec le temps par frottement
sur la substance de l’espace, celle-ci ne tarderait pas à s’annihiler. La conservation
de l’énergie – et donc de la rotation de spin en l’état – est donc fondamentale
pour assurer la survie de la particule et partant de l’équilibre de toute la matière
universelle. L’Être de la matière, la présence de l’univers à lui-même implique qu’il soit
alimenté par une énergie permanente. Le mouvement perpétuel est donc une
nécessité ontologique à l’existence des mondes.
Ainsi, l’énergie
universelle a pour origine le mouvement de spin permanent des particules. Mais
à côté de celle-ci nous devons noter l’existence d’une énergie de nature
totalement différente à savoir celle issue des mouvements de gravitation. En
effet, l’attraction entre deux corps trouve son origine dans la pression qu’exerce
sur eux l’espace substance sur le mode de l’effet d’écran ( voir nos travaux
sur le sujet).
Ainsi, nous avons repérer deux sources
uniques de l’énergie universelle, à savoir l’énergie de spin des particules et
celle de l’effet d’écran de la gravitation. Tenter d’unifier ces deux sources (
ou ces forces) comme le tentent les théoriciens d’aujourd’hui est donc peine
perdue puisque leurs causes et leur modes de fonctionnement sont radicalement
différents.
ps : à noter que si nous parvenions à stopper la rotation de spin des particules pour un coût moindre leur annihilation serait une source illimitée d'énergie.
ps : à noter que si nous parvenions à stopper la rotation de spin des particules pour un coût moindre leur annihilation serait une source illimitée d'énergie.
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