Les flashes des sursauts gamma
observés correspondent bien aux postulations de la théorie de la substance de
l’espace puisque pouvant se produire selon des puissances variables mais
extrêmement énergétiques. Ceux-ci traduiraient l’intensité d’une onde de choc
consécutive à une brusque compression de la substance de l’espace et annonçant la naissance d'un embryon stellaire.
Les sursauts gamma n’ont jamais reçu
une interprétation satisfaisante par l’astrophysique contemporaine. Leur
énergie correspond à celle d’une explosion thermonucléaire et leur lieu de
prédilection sont les sites de formation des jeunes étoiles.
1 – Compte rendu d’observations : Longue durée d’un sursaut gamma
Le 29 juillet 2006 le Burst Alert
Télescope du satellite SWIFT détecte un sursaut gamma baptisé GRB 060729.
Normal, il s’agit du Gamma Ray Burt du 29/06/2007, ce qui l’est moins c’est que
le télescope à rayons X de SWIFT, le XRT observant ce GRB dans la constellation
du Peintre, va lui observer l’évolution du rayonnement rémanent associé à un GRB
pendant plusieurs mois ! Or, un tel type de rayonnement en X produit par
l’impact des ondes de chocs des hyper novæ sur le milieu interstellaire
environnant ne dure généralement qu’une à deux semaines. En novembre il était
toujours bien visible ! 125 jours cela commence à faire beaucoup !
Cela implique non seulement une plus
grande injection d’énergie dans l’espace environnant qu’il ne se produit
d’habitude mais de plus que la source qui en est responsable doit fonctionner de manière continue. Dans le modèle des hyper novæ, le
trou noir formé par l’effondrement du cœur de l’étoile forme très vite un
disque d’accrétion. Des instabilités magnétohydrodynamiques pourraient
provoquer la formation de plusieurs bouffées de matière éjectées presque à la
vitesse de la lumière. Ralenties par leur collision avec le milieu
interstellaire les premières coquilles produites seraient rattrapées par les
dernières.
Il existerait cependant une autre
possibilité, au lieu d’un trou noir un magnétar se serait formé ! Rappelons qu’un
magnétar est une étoile à neutrons mais possédant un champ magnétique
extraordinairement puissant. Celui-ci serait capable de freiner la rotation
ultra-rapide de l’étoile à neutrons nouvellement formée. L’énergie cinétique de
rotation serait alors convertie en énergie magnétique, laquelle serait
continuellement injectée dans l’onde de choc de l’explosion alimentant la
production en rayons x par collision avec le milieu interstellaire.
Cette fois-ci, l’émission rémanente,
l’« afterglow », est restée presque constante
pendant 5 jours, puis a rapidement décru. Cela ne semble pas compatible avec le
modèle comportant des collisions successives des coquilles de gaz produites par
le disque d’accrétion du trou noir, mais cela correspondrait assez bien avec le
modèle du magnétar. Cependant, la vitesse de rotation initiale de l’étoile à
neutrons devrait avoir été d’au moins 1000 tours par seconde, ce qui n’est pas
loin de la limite d’éclatement d’un tel astre sous l’action de sa force
centrifuge !
Commentaires
Dans la nouvelle théorie, les sursauts
gamma sont associés à la création d’étoiles nouvelles et d’un cœur photonique
en rotation extrêmement rapide (voir le chapitre 2), ce qui correspond
parfaitement aux conditions posées pour le prétendu magnétar. L’étoile
naissante fonctionne de façon continue, ce qui ne cadre pas évidemment avec la
thèse de l’explosion d’une super nova.
2 – Compte rendu d’observations : Le mystère des sursauts gamma
- Deux sursauts gamma récents ont fait
l’objet d’observations poussées, et pourraient aider à déterminer l’origine de
ces fameuses explosions gamma. Un premier sursaut a montré des variations de
polarisation, ce qui semble en accord avec la naissance des sursauts dans des
jets de matière. Le second a montré des variations de lumière à court terme qui
proviendraient de variations de la densité du milieu rencontré par le jet.
Cette dernière observation favoriserait la théorie dite ‘de l’hypernova’, où la
source du sursaut est l’explosion d’une étoile très massive. http://cfaww.harvard.edu/press/pr0308.html
- L’examen de quelque 2000 sursauts
gamma montre qu’il en existe deux variétés. L’origine des plus brefs, durant
moins de deux secondes, est encore incertaine. Les plus longs apparaissent
probablement lors de l’effondrement d’étoiles très massives.
http://spaceflightnow.com/news/n0302/20grb/
http://spaceflightnow.com/news/n0302/20grb/
- Des astronomes européens ont pour la
première fois suivi l’évolution de la polarisation d’un sursaut gamma. La
polarisation de la lumière nous donne des informations sur la structure
spatiale du sursaut (jet ? explosion sphérique?) mais aucune des théories
actuelles ne peut expliquer les observations du VLT… les sursauts gamma
conservent donc une partie de leur mystère !http://www.eso.org/outreach/press-rel/pr-2003/pr-30-03.html
- Une observation de 21h par le
satellite Chandra semble confirmer la connexion entre les sursauts gamma et les
supernovæ. En effet, l’observation X de l’afterglow du sursaut GRB020813 révèle
une surabondance de certains éléments chimiques, caractéristique des supernovæ.
On pense que de nombreux sursauts gamma seraient en fait dus à un jet de
particules de haute énergie éjectées par le trou noir créé lors de l’explosion
d’une étoile massive en supernova. L’interaction entre ce jet et la matière
éjectée lors de l’explosion donnerait naissance à l’afterglow tel celui observé
par Chandra. Pour ce sursaut gamma, les astronomes ont pu déterminer que
l’explosion gamma avait eu lieu 60 jours après l’explosion de la supernova. De
plus, la matière observée par Chandra se déplaçait à un dixième de la vitesse
de la lumière, et proviendrait d’une toute petite région, ce qui semble donc
bien confirmer le modèle sursaut-supernova.
http://chandra.harvard.edu/photo/2003/grb020813/
http://chandra.harvard.edu/photo/2003/grb020813/
Commentaires
L’astrophysique actuelle est incapable
d’expliquer les phénomènes hyper énergétiques autrement que par l’explosion
d’étoiles qui se multiplient, à croire que dès qu’une étoile est un peu
massive, elle est condamnée à exploser. Ci-dessus, les sursauts gamma
s’effectuent sous forme de jets collimatés, ce qui est en parfait accord avec
la nouvelle théorie (voir chapitre suivant sur les modalités d’autocréation de
particules sous forme de jets incurvés).
Par ailleurs, les sursauts gamma
peuvent être d’intensité et de durée extrêmement variées, ce qui s’explique par
la naissance d’étoiles dont les masses peuvent s’étendre de la plus
petite planète à des super géantes.
3 – Compte rendu d’observations : L’énergie des rayons cosmiques
L’énergie des particules du
rayonnement cosmique peut atteindre jusqu’à 1021 électronvolt
mais la source réelle de ces puissantes particules qui circulent dans
toute la Galaxie est toujours une énigme. On pense actuellement que la majorité
des rayons cosmiques, au moins jusqu’à des énergies de l’ordre de 3 1015
eV, peut être produite dans des chocs présents dans le reste des « supernovæ »,
ces explosions d’étoiles qui éjectent dans l’espace une grande quantité de
matière. Pourtant
l’explosion elle-même ne permet pas d’atteindre de telles énergies. Ces observations ont principalement
montré que l’ensemble de l’émission en rayons X ne provient pas d’un gaz chaud
mais est entièrement dominée par le rayonnement d’électrons accélérés jusqu’aux
énergies du TeV (1012 eV), anticipant ainsi les résultats plus
directs qui viennent d’être obtenus par HESS. Les électrons ne représentant que
2 % des rayons cosmiques, il est maintenant essentiel de démontrer que les
protons sont également accélérés jusqu’à quelques 1015 eV. De
nombreux points restent en discussion. L’émission gamma de haute énergie
provient-elle de l’interaction des électrons ou des protons
accélérés? Est-ce une combinaison des deux ? Pour répondre à cette
question, G347.3-0.5 continue d’être observé par XMM-Newton et HESS afin
d’obtenir une information encore plus précise de ce spectaculaire reste
d’explosion d’étoile, source de rayonnement cosmique.
http://www.esrin.esa.int/esaSC/SEM20VJBWFE_index_0.html
Commentaires
Ces rayonnements hautement
énergétiques ne trouvent toujours pas d’explications dans le cadre de la
théorie standard. Le réflexe habituel est de les attribuer à des explosions de
SN. Or ici, il est clairement avoué que ces explosions ne permettent pas
d’atteindre de telles énergies. Il faut changer le cadre de l’analyse ce que
permet seule la nouvelle théorie en attribuant l’origine de ces rayonnements à
de la création de matière consécutive à une onde de choc sidérale.
4 – Compte rendu d’observations : un éclat radio surpuissant
Une information en provenance de
l’université de Virginie Occidentale, annonce la découverte d’un éclat radio
anormalement puissant qu’il a saturé l’équipement, » a dit
professeur Matthew Bailes d’université de Swinburne à Melbourne.L’éclat était
si lumineux que lorsqu’on l’a enregistré la première fois il a été écarté en
tant qu’interférence par radio synthétique. Il a atteint une énorme puissance
(Joules 10exp33), équivalente à une grande centrale électrique (2000MW)
fonctionnant pendant deux milliard de milliards d’années. « L’éclat a pu
avoir été produit par un événement exotique tel que la collision de deux
étoiles à neutrons ou soit le dernier halètement d’un trou noir pendant qu’il
s’évapore complètement, » a dit le professeur Lorimer. L’’éclat a duré
juste cinq millisecondes La
puissance en énergie
de ces brefs éclats
dépasse les capacités d’analyse qu’offrent les théories existantes.
5 – Compte rendu d’observations
Le sursaut de rayons gamma détecté
dans la constellation de la Poupe (Puppis) par
l’observatoire de rayons gamma Intégral le 03 Décembre 2003 a été étudié. Les
astronomes sont arrivés à la conclusion que cet événement, appelé GRB 031203,
est l’éclat de rayons gamma cosmiques le plus proche enregistré, à environ 1,6
milliards d’années de distance, mais aussi le plus faible. Cela suggère aussi
qu’une population entière d’éclats de rayons gamma sous-énergiques soit
jusqu’ici passée inaperçue
Commentaires
Les sursauts gamma associés à la
naissance d’embryons stellaires peuvent être d’intensité très variable et
fonction de la masse naissante des étoiles.
6 – Compte rendu d’observations : existence des rayons
cosmiques dits d’ultra-haute énergie.
Les sources des particules les plus
énergétiques de l’Univers pourraient être les étoiles les plus petites de
l’Univers. C’est ce que suggère une étude de Ke Fang (University of Chicago).
Le plus grand mystère provient des rayons cosmiques dits de « ultra-haute
énergie », qui nous parviennent avec des énergies colossales de l’ordre de
centaines de joules. Le LHC, ne peut atteindre qu’un dix-millionième de
l’énergie de ces rayons cosmiques. Malgré des décennies de recherches
expérimentales et théoriques, l’origine des rayons cosmiques de ultra-haute
énergie reste inconnue.
Ces particules sont trop énergétiques
pour avoir été produites dans la plupart des objets astrophysiques, et des
résultats récents de l’Observatoire Pierre Auger semblent indiquer
(étrangement) qu’aux plus hautes énergies, les rayons cosmiques deviennent de
plus en plus lourds, leur composition se rapprochant du fer.
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La naissance du cœur photonique
s’effectue selon des énergies extrêmes et émettent en conséquence des flashs
que l’astrophysique attribue à des explosions de supernova et à leur
résidu : les pulsars. Ces observations correspondent aux analyses de la
nouvelle théorie à savoir qu’ils doivent être émis par un corps astral de très
petite taille et que les particules lourdes comme le fer sont fabriquées en
premier consécutivement à la haute température du cœur photonique.
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