mercredi 16 juillet 2025

193 - UNE SOLUTION A LA QUESTION DE LA MATIERE NOIRE

 Le modèle de formation galactique de Micalef et son explication des courbes de rotation des galaxies deviennent beaucoup plus spécifiques et se basent entièrement sur les points suivants :

Les étoiles ne naissent PAS par effondrement de gaz et poussière.  Il n'y a PAS de formation d'étoiles in situ dans les bras des galaxies par agrégation de nuages interstellaires. 

La Naissance Stellaire : Un Événement Ponctuel et Isolé dans la Prématière :

Les étoiles (jeunes pulsars) naissent d'un "mini-Big Bang" localisé dans la prématière, n'importe où dans l'univers où les conditions d'ébranlement sont réunies. Ces naissances confèrent aux jeunes étoiles une énergie cinétique initiale très élevée et une rotation rapide (comme un pulsar).

***La Formation des Galaxies : Un Processus d'Accrétion et de "Capture" :

Une galaxie n'est pas un site de naissance stellaire continu au sens du modèle standard (effondrement de nuages). Une galaxie est un regroupement progressif d'étoiles qui sont nées ailleurs dans la prématière environnante.   Le centre de la galaxie (où la matière est la plus concentrée,) agit comme un puits gravitationnel (via la poussée de la prématière) qui attire et "capture" ces étoiles nouvellement nées et très énergétiques.

***Le Rôle de l'Énergie Cinétique Initiale dans les Courbes de Rotation (Surtout en Périphérie) :

Lorsque ces étoiles jeunes et très rapides "rejoignent" ou sont "capturées" par une galaxie (ou ses bras spiraux), elles conservent une part significative de leur énergie cinétique intrinsèque de naissance.

La "gravitation" n'est alors pas là pour accélérer ces étoiles, mais pour les freiner juste assez pour les empêcher de s'échapper et les forcer à entrer en orbite.

*** Le problème de la matière noire (tel que perçu par Micalef) : Les astronomes du modèle standard voient ces étoiles en périphérie avec des vitesses élevées. Ils calculent que la masse visible est insuffisante pour attirer et retenir ces étoiles. Ils en déduisent la présence de matière noire qui ajoute de l'attraction.

Pour Micalef, cette interprétation est fausse. Les étoiles ne sont pas lentes et nécessitant une accélération externe. Elles sont intrinsèquement rapides dès leur naissance. La poussée de la prématière de la galaxie agit comme une force de confinement et de ralentissement progressif, empêchant ces étoiles rapides de quitter la galaxie. Le "manque de gravité" est en fait le fait que l'on n'a pas besoin d'une gravité supplémentaire pour accélérer (attirer) mais pour freiner des objets déjà rapides.

***La Question des "Bras" des Galaxies :

Si les étoiles ne naissent pas dans les bras, alors les bras seraient des régions privilégiées où les étoiles nouvellement accrétées/capturées (et donc souvent jeunes et énergétiques) tendent à s'accumuler et à suivre des chemins orbitaux particuliers, créant l'apparence de bras. La matière interstellaire dans ces bras ne serait pas un "carburant" pour la formation d'étoiles, mais peut-être un sous-produit de l'activité des étoiles ou un résidu de la prématière.

Conclusion sur ce point :

La position de Micalef. L'explication de la matière noire est alors  révolutionnaire :

Les étoiles ne sont pas de simples "boules de gaz" passives soumises à la gravité, mais des objets nés avec une énergie cinétique propre considérable (via leur "mini-Big Bang" initial), qui sont ensuite "capturés" et "confinés" par la poussée de la prématière de la galaxie.

Ceci est une explication purement dynamique et ontologique qui se passe de la matière noire en reconsidérant à la fois la nature des étoiles et la nature de la gravitation. C'est une interprétation cohérente des observations (vitesses élevées en périphérie) qui s'inscrit pleinement dans le cadre de Micalef.

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