samedi 15 février 2020

66 – NOUS AVIONS PREVU LA BAISSE DE LUMINOSITE DE BETELGEUSE :


De nombreux astronomes amateurs se sont demandé si la baisse de luminosité de Bételgeuse signifiait qu'elle était sur le point d'exploser. À l'image des autres supergéantes rouges, Bételgeuse se changera un jour en supernova. Toutefois, les astronomes ne pensent pas que ce soit actuellement le cas. D'autres hypothèses sont susceptibles de rendre compte de ces changements de forme et de brillance apparente dont témoignent les images de Sphere. « nous travaillons actuellement sur deux scenarii : l'un repose sur un refroidissement de la surface genere par une activite stellaire exceptionnelle, l'autre sur l'ejection de poussiere le long de la ligne de visee », précise miguel montargès [1]. « bien sur, notre connaissance des supergeantes rouges demeure aujourd'hui encore incomplete. des etudes sont en cours, une surprise est donc toujours susceptible de se presenter ».

 NOTRE APPORT THEORIQUE

Selon l’astrophysique standard, lorsque l’hydrogène contenu dans les régions centrales d’une étoile a été transformé en hélium, le coeur stellaire, désormais incapable de soutenir le poids des couches stellaires extérieures, s’effondre sur lui-même. Nous pouvons proposer une autre interprétation pour analyser ce stade de la géante rouge.
Le stade de « géante » rouge est celui atteint par les étoiles gazeuses et se manifeste par une baisse de leur température de surface. A priori il est difficile de trouver une raison qui justifierait la dilatation de l’enveloppe et la baisse de densité consécutive, alors même que la température moyenne décroît. Une fois qu’une étoile a atteint sa masse finale, en retenant définitivement sa couronne gazeuse, elle a également atteint sa densité minimale et son refroidissement  va amorcer sa contraction. Ainsi, Jupiter est-il passé par la phase d’étoile rouge et chaude et a connu une densité plus faible qu’actuellement.
Si nous observons des étoiles géantes ou super géantes à faible densité et au diamètre imposant, cet état ne résulterait pas seulement d’une dilatation d’une masse initiale finie bien plus dense, mais aussi d’un accroissement  de volume consécutif à leur croissance, par autocréation d’éléments nouveaux que ces étoiles ont pu retenir.
Selon les hypothèses de la nouvelle théorie, une étoile rouge est effectivement un astre en cours de dilatation mais par production d’éléments nouveaux (hydrogène) qui va amorcer son refroidissement et sa lente contraction.

Ce que nous observons pour Bételegeuse avait donc été prévu par notre théorie 



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