Pour
que le cycle: Prématière<> onde <>
photon <>
matière <>
onde <>
prématière soit effectivement réversible, il faut un principe mécanique d'affaiblissement
contraignant le photon puis l'onde à tendre de nouveau à l'immobilité.
Par
ailleurs, le photon résultant de la densification et de la mise en mouvement du
milieu, la prématière, est confronté à la résistance de ce milieu. Un photon,
avec une même énergie initiale, ne peut poursuivre sans limite sa course. Il
est en effet contraire aux principes du mouvement rectiligne que celui-ci puisse
se poursuivre indéfiniment avec une même énergie finie, invariable depuis
l'origine. Nous aurions là une variante du mouvement perpétuel.
Pour
ces raisons, le photon circulant dans la prématière qu'il met en mouvement sous
forme d'ondes accompagnatrices - sans rencontrer d'obstacle - ne peut garder
invariable ni son énergie initiale, ni sa structure. Perdant de son énergie, il
doit progressivement se transformer en onde s'étalant toujours davantage qui
finit par disparaître.
Le
photon perd de son énergie en proportion de la distance parcourue en
s’étalant progressivement en onde avant de disparaître dans la prématière
|
Mais,
il faut qu'une résistance soit à
l'origine de la réduction de son énergie et celle-ci ne peut avoir d'autre
cause que la substance dans laquelle se meut le photon.
Cette
baisse d'énergie du photon puis de l'onde est donc proportionnelle à la
distance parcourue dans la substance de l'espace : comme toute onde matérielle,
celle-ci doit s'affaiblir selon la distance en proportion de la densité d'un
milieu résistant.
On
devrait constater un décalage affectant l'ensemble des raies des spectres des
étoiles, d'autant plus important que celles-ci sont plus éloignées. Le décalage
spectral cosmologique constaté est effectivement proportionnel à la distance
parcourue dans un milieu homogène qui est celui de la substance de l'espace.
De
fait, pour que la lumière rougie en provenance des étoiles nous parvienne
intacte, sans floue ni affaiblissement différencié de son spectre, il faut que
la cause à l'origine de l'affaiblissement son énergie soit totalement uniforme,
homogène, isotrope. Cette cause ne peut être trouvée ailleurs que dans les
propriétés de la prématière qui compose l’espace.
En
conséquence, la constante de Hubble doit s’analyser comme la mesure d’un
coefficient de freinage. On avait
interprété jusqu’à présent la constante de Hubble comme exprimant la vitesse de
dilatation d’un espace en expansion. Nous postulons tout au contraire que cette
constante mesure le degré de perte d’énergie d’un photon tout au long de son
parcours. .
Cet
affaiblissement du photon a pour seule cause la résistance inertielle de la
prématière. Il n’est donc pas lié à la rencontre et aux chocs avec d’autres
corps sur lesquels se fondent les partisans de la théorie de la « fatigue
de la lumière ». Les nouveaux principes rendent donc impossible une
quelconque expansion de l’univers dont la preuve serait apportée par le
décalage spectral des astres s’éloignant. Ce principe d'annihilation des
photons est tout entier déduit des lois du mouvement et de la nécessité d'un
cycle permanent création/annihilation à l'œuvre dans la nature.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire